Perfection de la maladie
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« Il nous faudrait remplir les musées de bris, briser le reste, et constater que tout, encore, est là, brisé et remodelé, et brisé à nouveau, et mêlé à la terre. Et nous, mêlés à la terre, et la vie comme œuvre, détruite, puis reconstruite, puis détruite, puis mêlée à la terre, et la terre remodelée, et l'œuvre comme vie. »
« Décision est prise de ne pas finir les choses et ainsi de ne pas être dans la confrontation. Un don étrange sorti d'on ne sait où. Le narrateur disant "nous" engage une génération. Une génération aveugle et infirme, consciente que la lumière qui inonde le centre de son monde n'est pas pour elle, rejetée en périphérie. »
(Sylvain Nicolino, obskure.com)
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Perfection de la maladie
Éditions de l'improbable, 2020